De nombreux autres pays ont prescrit ce médicament dès les années cinquante, et aujourd’hui, nous recensons 74 pays qui autorisent la prescription de ce médicament. Nous disposons sur ce médicament de plus de cinquante années de recul et de plus de mille publications internationales.
Ce devrait être plus qu’il n’en faut pour rassurer les plus vigilants, mais la France, qui ne connaît ce médicament que depuis 1996, reste sur ses gardes pour des raisons qui apparaissent surtout idéologiques : tant que l’hyperactivité sera considérée dans notre pays comme un trouble principalement affectif, éducatif ou familial, la prescription d’un psychotrope apparaîtra comme une facilité ou une diversion.